Gibbon à bonnet
Gibbon à bonnet
Publié par Sébastien le lundi 2 août 2021
Les couples de gibbons chantent en duo, afin de délimiter leur territoire. Les gibbons sont des modèles de fidélité. Lorsqu’un couple se constitue c’est pour la vie. Chez le gibbon à bonnet, le mâle est noir avec un masque facial blanc, alors que la femelle est blanche avec un masque facial noir.
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Macaque ouandérou
Publié par Sébastien le lundi 2 août 2021
Egalement appelé macaque à queue de lion, ce primate se caractérise par cette crinière grise rappelant celle du lion. Les mâles sont beaucoup plus gros que les femelles. Originaires de l’ouest de l’Inde, la population sauvage est en déclin principalement à cause de la destruction de son habitat.
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Hurleurs noirs
Publié par Sébastien le lundi 2 août 2021
Qualifié de singe diplomate, le hurleur noir pousse des cris territoriaux audibles jusqu’à 16km de distance. De quoi amplement décourager les groupes voisins de venir déclencher un conflit. Le mâle se caractérise par son pelage noir, alors que les femelles ont un pelage brun
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Atèle varié
Publié par Sébastien le lundi 2 août 2021
Les atèles se caractérisent par une queue préhensile qu’on peut associer à une cinquième main. Exclusivement arboricoles, les atèles variés figurent depuis 2004 à la triste liste des 25 espèces de primates les plus menacées.
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Capucin à poitrine jaune
Publié par Sébastien le lundi 2 août 2021
Le capucin à poitrine jaune fait partie des rares espèces de primates à utiliser des outils, comme des pierres en guise de casse-noix. Très expressifs par leurs mimiques faciales, ces singes sont encore aujourd’hui très étudiés par les scientifiques pour comprendre l’évolution des capacités cognitives, et par extension l’évolution de l’Homme
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Ouistiti commun
Publié par Sébastien le lundi 2 août 2021
Aussi appelé ouistiti à pinceaux, ce petit singe sud-Américain est spécialisé dans la consommation de la gomme des arbres. Pour l’extraire, il utilise ses incisives pour creuser de petits trous dans l’écorce des arbres.
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Tamarin pinché
Publié par Sébastien le lundi 2 août 2021
Parmi les callithrichidés, le tamarin pinché se reconnait facilement à sa crête blanche. Ses canines inférieures proméminentes donnent l’illusion qu’il porte des défenses… En danger critique d’extinction, il souffre principalement de l’accélération de la déforestation au Brésil
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Saïmiri du Pérou
Publié par Sébastien le lundi 2 août 2021
Petit singe Sud-Américain, le saïmiri se reconnait facilement à son pelage jaune au niveau des pattes. Sociaux et grégaires, ils peuvent vivre en groupes comportant plusieurs dizaines d’individus. Chez les saïmiris on pratique l’allomaternage. Cela signifie que les femelles coopèrent pour élever les petits en communauté.
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Ouistiti pygmée
Publié par Sébastien le lundi 17 mai 2021
C’est le plus petit des singes du haut de ses 100 g pour une taille de 10 à 15 cm. Du fait de sa petite taille, il possède bien plus de prédateurs que les autres singes. Il a la particularité de pouvoir tourner sa tête à 180° pour scruter l’horizon.
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Saki à face blanche
Publié par Sébastien le samedi 6 juin 2020
Voici un primate à la tête peu commune. Avec son disque facial (blanc pour les mâles, gris pour les femelles), le saki à face blanche vit au nord du continent Sud-Américain. Il vit généralement dans les étages inférieurs de la canopée, et se nourrit essentiellement de fruits, de noix, de feuilles et d’insectes. Diurnes, ces petits primates vivent en couples formés à vie. Cela ne les empêche cependant pas de former des petits groupes pouvant comporter jusqu’à 12 individus. Le saki se déplace majoritairement en sautant de branche en branche contrairement à une majorité d’autres primates arboricoles.
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Patas
Publié par Sébastien le samedi 6 juin 2020
Egalement appelé singe rouge, ou encore singe pleureur, le patas est un primate de la famille des cercopithécidés. A l’état sauvage, on le trouve dans les milieux ouverts de type savanes. Pouvant courir à plus de 55 km/h, avec des pointes à 80 km/h, il s’agit du singe terrestre le plus rapide. Omnivore, le patas se nourrit essentiellement de fruits et d’insectes. La structure sociale se compose généralement d’un mâle vivant avec un groupe pouvant comprendre jusqu’à 60 femelles.
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Macaques de Barbarie
Publié par Jonathan Patin le lundi 11 mars 2019
Le magot ou macaque de Barbary est un singe de 4 saisons, il vit habituellement au nord du désert du Sahara et en Europe.
Individu très social, il vit en groupe, se nourrit de fruits, de feuilles, d’écorces, de bulbes et de champignons mais parfois aussi d’insectes et d’autres petits invertébrés. Le soir il monte dormir dans les arbres à l’abri des prédateurs…
Avec moins de 10 000 individus à l’état sauvage, l’espèce est considérée comme en danger d’extinction depuis 2008 pourtant il ne bénéficie pas de programme d’élevage européen, mais seulement d’un studbook européen (deuxième niveau de programme européen d’élevage pour les espèces menacées).
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Gélada
Publié par Jonathan Patin le dimanche 10 mars 2019
Le gélada est un primate qui vit sur les hauts plateaux d’Éthiopie de 1800 à 4400 mètres d’altitude.
Singe herbivore par excellence, il se nourrit uniquement de plantes herbacées. Très social, le gélada peut vivre en groupe comportant parfois jusqu’à 500 individus. Il existe un dimorphisme sexuel très marqué. Les mâles pèsent jusqu’à 18 kg et possèdent un pelage très long s’apparentant à une crinière. Les femelles plus petites pèsent en moyenne 11 kg et ont un pelage plus court.
Mâles comme femelles possèdent sur le torse une zone de peau nue, de couleur rose à rouge en forme de sablier. Chez la femelle, pendant les chaleurs, ce sablier passe du rose au rouge vif signalant ainsi au mâle sa réceptivité. Cette espèce bénéficie d’un programme d’élevage européen.
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Tamarin lion doré
Publié par Jonathan Patin le vendredi 15 février 2019
Le tamarin lion doré est le plus grand des tamarins. Originaire d’Amérique du Sud, il est diurne, arboricole et vit en groupe de 5 à 6 individus multi-mâles, multi-femelles. Il se nourrit d’insectes et de fruits qu’il cherche dans les plantes ou au sol, d’araignées et de grenouilles. Ce petit primate est géré dans le cadre d’un programme d’élevage européen.
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Tamarin empereur
Publié par Jonathan Patin le vendredi 15 février 2019
Petit primate d’Amérique du Sud il vit le jour, forme des groupes mixtes avec d’autres espèces, multi-mâles uni-femelle de 3 à 8 individus. Il se nourrit d’insectes et de fruits qu’il cherche dans les plantes ou au sol, gomme et sève suivant les saisons. Il est géré par un programme d’élevage européen.
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Tamarin de Goeldi
Publié par Jonathan Patin le vendredi 15 février 2019
Le tamarin de Goeldi est diurne, arboricole, et vit en groupe de 2 à 8 individus multi-mâles, multi-femelles. Il vit très bien avec d’autres espèces comme les tamarins empereurs, les douroucoulis, ou encore les singes hurleurs.
Il consomme essentiellement des feuilles et des fruits. Il est le plus végétarien de tous les tamarins. Nous le retrouvons en Bolivie, Colombie, dans les forêts tropicales sèches, il n’aime pas les endroits trop souvent humides et vit dans la canopée. Il est géré par un programme d’élevage européen.
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Ouistitis de Geoffroy
Publié par Jonathan Patin le vendredi 15 février 2019
Petit primate originaire d’Amérique du Sud, ce callitricidé est diurne et vit en groupe d’environ 9 individus multi-mâles, multi-femelles.
Rapide et agile il peut grimper jusqu’à 500 m d’altitude. Dans le milieu naturel, il préfère la forêt secondaire à la forêt primaire ou les lisières de forêt.
Les callitricidés sont les seuls singes chez lesquels les ongles se sont modifiés en griffes, permettant ainsi une locomotion plus aisée sur les troncs des arbres dans lesquels ils vivent. Leur pelage est d’un brun noirâtre avec des teintes grises dessus, brun foncé dessous. Leur queue est annelée de noir et de gris. Ils ont la particularité d’avoir de longues touffes noires autour des oreilles, ainsi qu’un large masque blanc qui déborde de leur visage.
Les ouistitis de Geoffroy se nourrissent de façon variées. Ils sont à la fois gommivore, frugivore, et insectivore. Ils sont gérés par un programme d’élevage européen.
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Lémur mongos
Publié par Sébastien le samedi 2 février 2019
Le lémur mongos ressemble beaucoup au lémur couronné. Il vit dans les forêts sèches situées dans l’anse nord ouest de Madagascar. Le mâle se caractérise par sa gorge rougeâtre et un pelage plus sombre que le lémur couronné. La femelle a la gorge blanche. Il s’agit du lémurien le plus discret au parc, même s’il se montre parfois très curieux avec les visiteurs… Le lémur mongos fait l’objet d’un programme d’élevage européen mais également d’un programme de réinsertion en milieu naturel
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Lémur macaco
Publié par Sébastien le samedi 2 février 2019
Aussi appelé lémur noir, du fait de la coloration noire intégrale chez le mâle, il s’agit du lémurien chez lequel le dimorphisme est le plus poussé. Ils sont originaires de la région de Nosy Be. Très territoriaux, les macacos font partie des espèces dominantes sur nos îles. Les lémurs macacos font l’objet d’un programme d’élevage européen depuis 1992.
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Lemur couronné
Publié par Sébastien le samedi 2 février 2019
La plus petite espèce de lémuriens hébergée au parc mais aussi l’une des plus rapides.
L’incroyable superficie qui leur est donnée au parc (1 hectare) correspond à la moitié de leur domaine vital dans le milieu naturel…
Mâles comme femelles possèdent une couronne de poils orangés autour de la face. Chez le mâle, la couronne fait de tour complet avec un pelage brun, alors que chez la femelle, c’est plutôt une demi-couronne, sur fond de pelage gris. Le lémur couronné fait l’objet d’un programme d’élevage depuis 1996.
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lémur à ventre roux
Publié par Sébastien le samedi 2 février 2019
Espèce relativement discrète, le lémur à ventre roux se caractérise par un dimorphisme sexuel entre mâle et femelle. La femelle présente un ventre couleur crème et un pelage brun sombre. Le mâle, quant à lui, a un pelage intégralement brun sombre, avec une zone blanche sous les yeux, et une glande à mucus odorant sur le front… Ils vivent généralement en couple, sur tout le flanc est de l’ile de Madagascar. Le lémur à ventre roux fait l’objet d’un programme d’élevage depuis 2007.
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Lémur vari roux
Publié par Sébastien le samedi 2 février 2019
Le lémur vari roux est originaire du nord-est de Madagascar, au niveau de la péninsule de Masoala. Vivant dans la canopée, les groupes de lémurs varis entonnent régulièrement un chant territorial très puissant, que l’on peut entendre sur près de 30 hectares aux alentours… Petite particularité, le lémur vari est le seul lémurien qui abrite ses bébés dans un nid, généralement aménagé dans un arbre creux. Le lémur vari roux fait l’objet d’un programme d’élevage européen depuis 1990.
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Maki catta
Publié par Sébastien le samedi 2 février 2019
C’est sans nul doute LE lémurien le plus connu des petits et grands. Très sociable, le maki catta vit en groupes pouvant compter jusqu’à 30 individus. Connu pour sa pose de méditation face au soleil durant laquelle il utilise les rayons UV pour activer la production de son odeur corporelle, le maki catta est originaire du sud de Madagascar. Au parc, nous avons réussi à faire cohabiter deux clans de makis. Unique au monde !!! Le maki catta fait l’objet d’un programme d’élevage depuis 1994.
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